Le nouveau CA a procédé à l'élection de vices présidents statutaires et validé la nomination de chargés de mission (certain ont un titre de courtoisie de VP) ainsi que du président de la commission des moyens et la nomination d'une directrice du SCUIO. Cette dernière est par ailleurs directrice de l'UFR SFA.
Alain Zozime 1er vice président du CA, chargé des finances et de la politique contractuelle
Jean De Beir 2ème vive président du CA chargé de la vie étudiante
Membres du bureau :
José Gabriel Poloniecki VP chargé des RI
Philipe Lopes VP chargé des TIC/TICE
Hichem Maaref VP chargé de la valorisation de la recherche et de la formation
Sylvie Gillot VP BIATOS
Séverine Lepiouff VP BIATOS
Romain Keller Rousselet VP étudiant
Annie Chaussé Directrice du SCUIO
Francis Artigues Président de la Commission des Moyens
Par ailleurs les chargés de mission, qui ne faisaient pas l’objet d’un vote ont été présentés par RM, à savoir :
Bernard Prum : évaluation de la recherche
Christiane Camus : insertion professionnelle des diplômés
Damien Ehrhardt : culture
Nicole Quétin : VAE
François Colly : statuts
Toutes les conditions sont réunies après le vote du projet d'établissement 2008/2011 pour que s'engage une mobilisation des collègues.
La préparation de la rentrée 2008, qui ne s'annonce pas facile avec la mise en place du plan réussite en licence, devrait faire l'objet d'un débat public et non passer par les rouages obsolètes des UFR.
Par ailleurs un programme, cadre qui reprend, les grandes lignes du programme Ensemble, c'est bien mais il faut au-delà des mots et des déclarations de principe, un plan d'action avec un calendrier précis.
Bon il y a une équipe, les VP du CS et du CEVU sont élus, le secrétaire général a un plan de modernisation de l'administration dans les cartons, l'université d'Evry existe à nouveau pour l'extérieur tout cela est bien, on commence quand les réformes ? On continue à faire comme si certaines déclaration d'existence de fédération machin chose en recherche valait existence réelle ou on met les choses clairement sur la table pour reconstruire, supprimer si nécessaire.
A quand la clarification de notre position par rapport au PRES Universud, on y va ou on fait les chochottes?
Qui fait le travail? Une fois les noms alignés sur le papier, nous attendons les feuilles de route et les premiers résultats de l'action.
N'oublions pas que l'enseignement supérieur est une maison de verre, qu'on ne peut rien dissimuler et que l'étudiant, le lycéen, les parents, les profs de lycée d'un côté, les responsables du ministère (s'ils le veulent) l'AERES et ceux du CEA, de l'INSERM et du CNRS sans parler d'autres savent tout en fait de nos forces et faiblesses, inutiles de nous cacher derrière notre doigt comme du temps de l'ancien président, la dure réalité nous rattrapera assez tôt comme le dit le mari de Carla Bruni.
Notre chance c'est pour le moment les contorsions d'Orsay et le petit jeu politicien qui s'y déroule avec une présidence dépassée qui s'accroche.
Le risque c'est que les enjeux sont tels dans ce secteur que les arguties politiciennes risquent être rapidement balayées par la nécessité de mettre en place une structure efficace sur l'opération plateau et regroupement des établissements, la menace voilée de Sarkozy de recourir à la loi pour libérer l'espace du plateau peut s'appliquer à autre chose si nécessaire.